Les Parques
LES PARQUES
A l’aube des temps perdus
Aux horizons sans fin,
Il pleut sur les chimères
Sur un air qui désespère,
Perles de lune,
Gouttes de l’ennui,
Aux marches d’un palais
Où sont cachées les Parques,
Filles de la nuit et du Destin
Veillant sur le sort des humains.
Le temps défile,
Le temps s’enfuit,
Et roule la quenouille,
Fille de l’obscur
Fileuse du Destin,
Ce fil mystérieux,
Symbole du cours de la vie
Que ta sœur a donné,
Que ton ainée va trancher…
Un jour, bientôt, plus tard…
Impitoyable divinité !
Mais ne pas perdre l’espoir,
Car ces gardiennes des destinées,
Fileuses de vie et de mort,
Guident l’homme vers la lumière,
Dans l’harmonie des sphères célestes,
Pour que sa vie soit belle…
Alors, vis ta vie, intensément,
Et profite de ce cadeau merveilleux…
N’oublie pas que l’amour est
Le plus beau des trésors.
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