MEDITATIONS OBSCURES
Voici le second
MEDITATIONS OBSCURES
Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux combat,
Que traversaient souvent des éclairs de passion,
Quand mon cœur débridé aimait à la folie
Une brune déesse au charme dévorant.
Dans les sombres méandres de mes pensées secrètes,
La marguerite- reine éclaire de ses étoiles
L’automne qui s’achève, dans les brumes opaques
De ma vie qui se rend, lasse de ces vaines luttes.
Le temps me donnera-t-il le pouvoir d’égrener
L’horloge des souvenirs, quand les froides rigueurs
Auront glacé mon sang, et que libéré de son carcan funeste,
Mon esprit expirant pourra prendre son essor ?
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