Soupirs, silences.
SOUPIRS, SILENCES
Sur les chemins de ma mémoire
Sont plantés des soupirs :
Soupirs légers, chargés de joie,
Et qui vont s’envoler
Au gré de mes sourires.
Soupirs lourds et embués de larmes
Qui vont se poser sur des branches frêles…
Une mélodie de soupirs
Glanés un à un au gré d’une vie.
Sur mes silences et mes soupirs
J’écris des sourires et des larmes,
J’écris l’espoir et le ciel bleu,
Le désespoir et les sanglots
Et surtout des rires d’enfants,
Tintements de fraîcheur
Qui vont s’égrener autour de mon âme…
Oui, pour ne pas mourir,
J’écris sur mes silences des rires d’enfants.
C’est pourquoi, au hasard,
Sans certitude ni désespoir,
Notes invisibles d’une mélodie muette,
J’écris sur des soupirs
Pour ne pas disparaître.
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